Déjà considéré comme l’un des meilleurs joueurs de volleyballDéjà considéré comme l’un des meilleurs joueurs de volleyballde la province lorsqu’il est élève à Maurice-Lavallée, Félix Dufour est reconnu pour la qualité de ses attaques au filet. Il se distingue en tant que membre des clubs NAVC et FOG à Edmonton.
Ces clubs élites de volleyball lui permettent de pratiquer son sport pendant plusieurs mois pendant l’année scolaire et de participer à des championnats provinciaux, nationaux et internationaux.
Sélectionné au sein de l’équipe provinciale des moins de 17 ans, Félix Dufour joue au poste de centre pour Équipe Alberta, avec laquelle il participe à un tournoi en Corée du Sud où l’équipe termine troisième. « C’était une expérience fantastique », se souvient-il. La même année, Félix se rend à Halifax pour la Coupe du Canada où l’équipe remporte la médaille de bronze.
Le Franco-Albertain est fier de dire qu’il a pu se démarquer en tant qu’athlète et atteindre le plus haut niveau de compétitiontout en poursuivant ses études secondaires deuxième cycle à Maurice-Lavallée. « Je tenais à étudier dans une école francophone, sachant aussi que j’allais me faire remarquer davantage dans une équipe club qu’à l’école. »
Lorsqu’il doit choisir un établissement postsecondaire, Félix est courtisé par plusieurs établissements à travers le pays. Son choix se porte sur le collège NAIT pour suivre le programme de conditionnement physique en vue de devenir un entraîneur sportif et de jouer avec les Ooks, une équipe de volleyball qui a terminé au premier rang de la Conférence athlétique des collèges de l’Alberta l’année précédant sa graduation.
Avec les Ooks, Félix est nommé recrue de l’année. Il lui reste encore trois saisons universitaires à jouer quand il doit choisir son université. Au moment de faire son choix, il a plusieurs offres sur la table. Il opte alors pour l’Université Laval, située à Québec, convaincu par l’excellente réputation de l’entraîneur Gino Brousseau et de son programme de volleyball.
Félix souligne que son parcours scolaire francophone lui a donné l’opportunité de continuer sa carrière de volleyeur dans l’un des meilleurs programmes de volleyball au pays tout en poursuivant son baccalauréat en enseignement. « Vivre à Québec pour étudier en français et jouer au volley-ball à l’Université Laval n’aurait pas été possible sans mon éducation francophone », précise-t-il.
Le volleyball représente pour lui non seulement des expériences enrichissantes à la fois sur le plan athlétique que personnel, mais aussi la chance de continuer son éducation dans sa langue maternelle, le français.
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